Tout le
monde connait l’histoire de la grenouille qui ne réagit pas à la montée lente
de la température dans la casserole qui lui sert de baignoire. Elle meurt cuite
et sans réaction alors que, d’un coup de patte, elle se serait éjectée si la
température était montée brutalement. C’est exactement ce qui nous arrive
depuis 50 ans et, sachant que nous sommes la grenouille indolente, il nous faut
comprendre ce qu’est cette eau qui chauffe, passant d’un bain agréable à une
bouilloire létale. Qui la fait chauffer et avec quelle motivation ? Il nous
faut aussi, non seulement comprendre pourquoi nous ne réagissons pas, mais
aussi entrevoir comment réagir tant que notre amollissement nous le permet
encore.
LE PROBLEME
Le problème que la montée des contraintes doit résoudre est énorme, la population mondiale n’arrête pas de croitre de façon démesurée. Un milliard en 1800, deux en 1927, trois en 1960, quatre en 1974, cinq en 1987, six en 1999, sept en 2011 et huit prévus en 2022. Or une espèce animale qui n’a plus de prédateurs s’est toujours multipliée jusqu’à sa propre extinction. Les hommes deviennent les sauterelles de la 8e plaie d’Égypte de la Bible :
Elles couvrirent la surface de toute la terre, et la terre fut dans l’obscurité ; elles dévorèrent toute l’herbe de la terre et tout le fruit des arbres, tout ce que la grêle avait laissé ; et il ne resta aucune verdure aux arbres ni à l’herbe des champs, dans tout le pays d’Égypte.
Cette augmentation s’est faite en deux temps. Jusqu’aux années 70, les découvertes médicales ont diminué drastiquement la mortalité infantile en occident d’abord puis sur toute la Terre en faisant artificiellement croitre l’espérance de vie qui n’a quasiment pas bouger à 20 ans depuis des siècles. Les 4 milliards d’hommes de ces années-là étaient encore en équilibre avec la Terre. Mais doubler la population mondiale en moins de 50 ans pose un problème dont nous n’osons même plus parler tellement il est terrifiant. Sans en parler, l’élite médiatico-politico-universitaire cherche sa solution et fait l’erreur fondamentale de chercher une solution unique qu’elle n’a pas encore trouvée et que doit fabriquer son intelligence, tout en préparant les peuples à tout accepter puisqu’il y aura urgence.
LES BASES OUBLIÉES
Avant d’étudier la façon dont l’élite cherche et tente de construire sa solution, il faut se souvenir qu’un équilibre stable se reconstitue naturellement s’il est dérangé, comme une pomme au bout de sa branche ou une bille dans un bol. Il ne demande aucun apport d’énergie et se reconstitue tout seul. A l’inverse un équilibre instable comme le château de cartes ou le funambule sur son fil, s’effondre brutalement s’il est dérangé et nécessite à la fois beaucoup d’énergie pour tenir et une technique obligatoire et pointue pour éviter son effondrement. Normalement les équilibres instables sont rares, l’homme aimant sa liberté et n’ayant habituellement à sa disposition que sa propre énergie et ses propres outils.
Il faut aussi avoir en tête que le premier équilibre stable qui se reconstitue systématiquement tout seul est que tout est balancier et que toute action génère sa réaction. Les droits et les devoirs n’existent pas durablement les uns sans les autres. Les productions ne sont richesses que si quelqu’un s’appauvrit pour les obtenir ou si nous changeons notre regard sur elles. L’exemple de la vache avec son lait et son purin nous interdit de confondre production et richesse.
LA SOLUTION DES ELITES
La vanité de nos élites actuelles leur fait rechercher par facilité une solution mondiale unique qu’ils savent, sans la connaître encore, devoir être imposée aux peuples qui sont trop différents pour gober volontairement le même breuvage. Un gouvernement mondial est leur tasse de thé et ils s’y voient évidemment beaucoup plus eux-mêmes qu’ils n’y voient des aborigènes, des pygmées ou des amérindiens. Soumis à leurs homologues anglo-saxons, ils veulent transpercer le ciel par une sorte de nouvelle tour de Babel construite avec des techniques et une énergie qu’ils sont sûrs de trouver et dont ils sont déjà fiers. Mais la Terre qu’ils appellent dorénavant avec dédain « la planète » est composée de civilisations, de nations et d’histoires d’hommes différentes qui toutes commencent à résister à cette solution unique, non encore trouvée et déjà imposée.
Les élites cherchent à construire un équilibre instable mondial et unique en l’imposant aux peuples par une avalanche d’obligations, d’interdictions et de normes, toutes en équilibre instable nécessitant sans arrêt de nouvelles techniques générant de nouvelles lois et consommant toujours davantage d’énergie. Ne pouvant plus trop augmenter les impôts, elles multiplient les amendes en culpabilisant leurs peuples tous azimuts.
Personne n’a les nouvelles techniques mais nos élites, aussi perdues que nous, les appellent simplement progrès, innovation et réformes pour faire savoir sans y croire elles-mêmes que le futur va apporter la solution, qu’il arrive comme le Père Noël alors que personne ne sait ce qu’il apporte.
Pour l’énergie, depuis les mêmes années 70, nous avons cru inventer l’énergie gratuite qu’est la monnaie-dette. Notre merveilleuse élite a même donner un nom à cette énergie gratuite. Elle veut des « plans Marshall » pour tout et partout, chaque dépense devient un investissement. A tout problème un « effort financier indispensable » est la solution. L’effort financier devient impératif partout tout en négligeant l’origine humaine de la force de l’argent.
Pour imposer aux peuples leur solution pour l’instant inexistante, les élites mettent en place l’identité numérique permettant de tuer socialement tout récalcitrant comme la Chine le pratique déjà. Personne ne sait si le SARS-CoV-2 a été fabriqué dans ce but ou s’il est une simple opportunité sur laquelle ils ont sauté, mais tout le monde constate que les dirigeants en profitent pour tester l’efficacité de la peur sur les peuples et celle de leur contrôle par l’identité numérique. Peur du virus, peur du terrorisme, peur du réchauffement climatique, peur de la guerre, n’importe quelle peur totalement irrationnelle fait l’affaire. La malhonnêteté intellectuelle triomphe partout. Il est triste de constater son efficacité sur les peuples trop confiants.
Ce sont nos élites qui font chauffer l’eau avec la belle et ferme intention de tout arrêter dès qu’elles auront trouvé la solution, ce qui ne saurait tarder d’après elles. C’est cette course contre la montre entre notre mort ébouillantés et le fruit de l’intelligence de nos élites qui devient notre quotidien avec un net avantage à notre ébouillantage puisqu’elles ne cherchent que dans le mondialisme une solution unique qui n’a aucune chance d’aboutir. Les élites s’auto-protègent dans toutes les institutions internationales fort coûteuses où elles s’auto-congratulent en voulant se convaincre que leur intelligence triomphera pour notre plus grand bien pendant que les peuples commencent à trouver l’eau un peu chaude. Il est piquant de se rappeler que la mort par ébouillantage était déjà la peine infligée en France aux faux-monnayeurs sous l’Ancien Régime. « Tout change pour que rien ne change » comme nous rappelait Tancredi dans Le Guépard. Une manière élégante de décrire un équilibre stable.
Chercher une solution unique et mondiale nécessite un formatage unique et mondial des peuples. Imaginer une civilisation unique et mondiale, c’est évidemment vouloir imposer la sienne et tenter de rendre crédible le mythe de la tour de Babel, équilibre instable par nature qui demande toujours davantage de techniques et davantage d’énergie. Le bon sens, sous l’apparence des dieux, détruit inéluctablement cette tour infernale.
LA DISPARITION DES ANCIENS REPERES
Par un très malheureux concours de circonstances, la spiritualité collective qui freinait autant les tentatives de réalisation des fantasmes que la rareté de la monnaie, a été quasiment effacée par le ratage de Vatican II. Le concile a en effet vu ses bonnes intentions complètement dénaturées par son incompréhension de ce qu’est le lien, personnel à chaque nation, entre sa monnaie objective et sa richesse subjective. Laisser à César ce qui lui appartient est évangélique. Ne rien n’y comprendre ne l’est pas. Le pape François lors de sa rencontre le 12 septembre 2021 avec ses confrères jésuites slovaques, rapportée par Civiltà catholica le 21 septembre, a parfaitement compris que le monde était « conditionné par les addictions et la virtualité » mais il ne semble pas avoir compris que les addictions sont des évasions d’un monde sans spiritualité collective (l’islam est malheureusement pour nous la seule religion qui résiste à cette folie) et la virtualité, très consommatrice d’énergie, ne peut prospérer que par la débauche de fausse monnaie. Faut-il oser conseiller à François de lire François, non d’Assise mais Ponsard ? L’académicien écrivait en 1853 en alexandrins dans L’honneur et l’argent :
Quand la borne est franchie, il n’est plus de limite
Et la première faute aux fautes nous invite.
Et la première faute aux fautes nous invite ! Toute notre agonie sociale ne serait-elle pas dans ce vers ? Et la difficulté ne serait-elle pas de savoir quelle est la faute première, celle qui nous invite à toutes les autres ?
Repérer et rectifier la première faute, ce serait arrêter de nourrir toutes les autres mais comme elles s’entremêlent de plus en plus, dénouer l’écheveau est une vraie difficulté dont le résultat est difficilement audible. Certains vont dire en effet que c’est l’immigration, d’autres la fausse monnaie, d’autres encore le laxisme généralisé, la perte de repères ou l’individualisme triomphant, d’autres enfin vont accuser tous les premiers de faire des fixations sur des marottes. Comment y voir clair ? Sans doute en se rappelant que les erreurs sont toutes sans exception des équilibres instables terriblement énergivores. C’est par la privation d’énergie que les équilibres instables s’effondrent et disparaissent. Le bébé sur un fil tombera par absence de concentration. Le château de cartes s’écroulera dès que l’énergie nécessaire au calme absolu manquera. C’est donc en limitant l’énergie, en la bornant, que l’on évite la première faute, évitement qui rendra toutes les autres presque impossibles. D’où la nécessité d’une monnaie fondée sur une richesse déjà reconnue comme l’or et de la vérification qu’aucune monnaie n’est créée sans blocage vérifié de cette richesse incontestée. La limitation de la monnaie d’un peuple à sa richesse en or a toujours été le gage de sa force et le désintérêt mondial vis-à-vis du dollar en est une nouvelle preuve que la puissance militaire ne peut que dissimuler provisoirement.
La solution des dirigeants actuels est morte avant même d’être née et est la plus fabuleuse IVG que le monde ait connue. En effet elle repose accessoirement sur l’acceptation par tous les peuples d’une discipline mondiale unique que même l’identité numérique sera totalement incapable d’imposer. Mais surtout elle est fondée sur l’énergie illimitée de la monnaie numérique alors que l’ensemble du système bancaire mondial est déjà à l’agonie. En effet les actifs des banques hors immobilier sont principalement constitués de créances sur les États et sur les multinationales. Or, si les petits remboursent, les gros ne paient que les intérêts et fabriquent des créances pourries que les banques essaient de titriser et de vendre comme pour les « subprimes » avant 2008 avec le résultat que l’on connait. Retarder l’explosion est l’activité première des banques pendant que les dirigeants fondent tout, et sur leur capacité à maîtriser les peuples par la peur et l’identité numérique, et sur la solidité des banques.
ALORS QUE FAIRE ?
La solution de notre problème existe pourtant mais elle est multiple, différente suivant chaque nation et fondée sur des équilibres stables demandant peu d’énergie et laissant l’énergie humaine déployer son inventivité sans se nourrir exclusivement et abusivement d’énergie monétaire.
Se contenter d’avoir une solution pour notre pays est sans doute une nécessité que l’humilité et le réalisme imposent. Les équilibres stables dont la France aurait besoin pour construire sa solution qui serait sans doute beaucoup imitée si elle était appliquée, pourraient être les suivants :
Toutes les énergies humaines seraient utilisées pour le bien de la nation et quand elles ne le seraient pas par les entreprises, l’artisanat, l’agriculture ou le commerce, elles le seraient sans délai par les ateliers nationaux qui rendraient utiles tous les chômeurs tellement il y a de choses à faire quelles que soient les compétences de nos nationaux. La nation les indemniserait, non de leur inaction mais de leur action. Les fonctionnaires autres que régaliens et qui sont devenus largement les plus nombreux seraient affectés progressivement aux ateliers nationaux pour devenir utiles et non plus simplement commentateurs, contempteurs et contrôleurs. Le principe des ateliers nationaux serait très simple : tout Français ayant besoin d’argent demanderait à sa mairie comment il peut être utile. L’État rémunérerait dès certification par la mairie de l’utilité de l’énergie dépensée. Chacun serait rémunéré après avoir été utile, jamais pour le devenir éventuellement.
Apprendre à devenir utile resterait l’apanage de l’éducation, parentale d’abord, nationale ensuite dès qu’elle aurait été nettoyée de ses addictions et de sa virtualité hors de prix. L’éducation nationale redeviendrait humblement et efficacement l’instruction publique avec un primaire limité à l’apprentissage de l’écriture, de la lecture et du calcul ; avec un secondaire destiné à déceler pendant toute sa durée si un élève peut encore améliorer sa capacité à être utile au groupe ou s’il doit tout de suite passer à l’action ; avec un baccalauréat qui retrouverait sa vocation première de vérification. Vérifier que ceux qui y arrivent sont non seulement immédiatement aptes à être utiles, mais que se trouvent parmi eux, le petit nombre qui peut encore améliorer dans le supérieur sa capacité contributive au groupe. Le laxisme actuel avec lequel on donne le bac pour que quelques politiciens puissent s’enorgueillir de 85% de bacheliers, devraient amener l’université à n’accueillir que les mentions très bien et à mieux choisir ses professeurs.
Le retour au franc lié à l’or ou à n’importe quelle richesse déjà reconnue, permettrait de limiter la quantité de monnaie, en opposition frontale à la volonté actuelle des dirigeants de faire une monnaie électronique illimitée dont la force ne sera puisée que dans les esclavages à venir que cette monnaie génère. C’est au contraire en arrêtant toutes les subventions et les allocations qui ne sont que des achats de voix de patients addictifs, que chaque Français saurait que la seule aide de l’État est de lui fournir du travail s’il n’en trouve pas tout seul, conformément aux préambules des constitutions de la IVe et Ve républiques. Il y est en effet écrit que « Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi ». Mais le conseil constitutionnel le 28 mai 1983, sous la présidence de Daniel Mayer nommé par Mitterrand, a scandaleusement vidé la phrase de sa substance en permettant à l’État de se dédouaner, laissant le souci de l’emploi aux entreprises et achetant sa propre tranquillité en payant les chômeurs.
La dette serait scindée entre celle qui a été créée par un prêt de vraie monnaie, résultat d’un travail effectif, et celle créée ex nihilo par la double écriture des banques avec promesse bancaire de détruire cette fausse monnaie dès qu’elle aura été remboursée avec intérêts. La première serait remboursée, la seconde serait nationalisée au prix coûtant de sa création. Cela ferait disparaitre la plus grande partie du secteur bancaire rendant disponibles ses salariés pour les entreprises, l’artisanat, le commerce, l’agriculture et les ateliers nationaux.
Fiscalement, ayant observé que la TVA couvre 50 % du budget de l’État, la totalité des impôts pourraient être supprimés en commençant par les impôts imbéciles sur la production et sur l’emploi pour ne garder qu’une TVA à 40 % sur l’ensemble de la consommation. Quelqu’un qui ne consomme pas la fabrication des autres ne devrait rien à la collectivité mais dès que quelqu’un consommerait ce qu’il n’a pas produit lui-même, il participerait à l’effort commun qui le lui a permis. L’État rentrerait autant d’argent mais ce ne serait payé que par ceux qui profite de son efficacité en consommant le résultat de sa gestion.
L’accumulation de normes et de lois depuis 50 ans, typique des équilibres instables serait violemment nettoyée. Le parlement aurait pour mission de faire retrouver aux différents codes l’épaisseur qu’ils avaient avant le séisme des années 70, en ne laissant aux juges que l’appréciation des faits et non celle des textes. Les textes seraient suffisamment rares et travaillés pour ne laisser aucune place à la jurisprudence. Un texte permettant plusieurs interprétations et laissant la Justice choisir, serait inconstitutionnel.
Il y aurait retour au troc entre nations imposant l’équilibre de la balance des paiements comme l’avait décidé le pacte de La Havane signé en 1948 par 53 États dont la France et tous les pays anglo-saxons. Ils ont créé l’Organisation Internationale du Commerce (OIC) avant de l’abandonner lâchement au profit de la lamentable OMC d’esprit rigoureusement inverse prônant le renard libre dans le poulailler libre. C’est par la dévaluation ou la réévaluation des monnaies que la balance des paiements devrait s’équilibrer quelle que soit la balance commerciale. Grâce au troc à l’international, chaque peuple resterait face à lui-même sans créer ou subir un nouvel esclavage.
La libre circulation des biens et des monnaies serait abolie, les deux constituant le patrimoine national et ne pouvant sortir qu’avec une entrée équivalente. Les paradis fiscaux en seraient automatiquement asséchés.
La parité restant un fantasme en maternité, les femmes seraient rémunérées de leurs grossesses comme de la réalité de l’éducation de leurs enfants. Les ménages ayant au moins 3 enfants seraient favorisés car s’il y a trop d’humains sur terre, chaque race doit être préservée comme dans toute espèce animale et la race blanche est actuellement en danger, quelles que soient les causes de ce constat indéniable.
L’arrêt des subventions, des allocations et de toutes les formes de prébendes de millions de chanoines laïcs choisis par l’élite, ferait naturellement s’assimiler en nous enrichissant ou remigrer en nous allégeant, la marée humaine venue en masse profiter de notre folie.
La langue française serait le véhicule de tous ces équilibres stables. Les langues étrangères seraient bien sûr autorisées, certains de leurs mots ont d’ailleurs été heureusement intégrés à notre langue, mais leur utilisation nouvelle quand un mot français préexiste serait systématiquement taxée. Cette liberté-là serait payante comme tous les luxes inutiles.
EN CONCLUSION
Deux voies s’ouvrent aujourd’hui à nous :
La solution de nos élites qui est une spirale négative générant continuellement des peurs en les fixant aléatoirement sur le sanitaire, le sécuritaire, le climatique ou le guerrier qui sont bien commodes. Cette solution très en vogue est une augmentation permanente d’équilibres instables qui ne tiennent que par la suppression progressive de toutes les libertés. Elle continue à entraîner la multiplication des lois, des normes, des dettes et des contrôles dans l’attente d’une solution mondiale que le bon sens sait ne jamais advenir et au contraire recréer des esclavages sous de multiples formes.
Et il y a celles des peuples qui peuvent résister au déferlement médiatique, renvoyer les dirigeants actuels à leurs chères études et porter au pouvoir des personnes qui se limitent humblement aux équilibres stables, chacun dans sa civilisation, sa nation et sa famille.
L’avenir sera ce que les peuples en feront. Cela s’appelait il n’y a pas si longtemps la démocratie.